Dernière ville la plus à l'Est de l'île de notre itinéraire. Il fait bon vivre dans cette petite bourgade aux rues sinueuses où l'on peut jouer au foot, aux dominos, assis sur sa chaise ou sur les marches de sa maison. Les perspectives sont plus douces et les maisons coloniales, toujours aussi colorées, se succèdent, ponctuées de petites places ombragées. Des gros orages éclatent tous les soirs, le tonnerre nous fait sursauter à mesure que les éclairs se rapprochent de nous. 

Un grand parc datant du début du siècle dernier jouxte l'imposante place de la révolution entourée d'infrastructures sportives. La mise en scène monumentale fait très "soviétique".